Adoration du Saint Sacrement "L’Assomption"

Comme tous les vendredis à la paroisse du Moufia, un temps d’adoration est proposé aux paroissiens :
de 7h00 à 10h30 : adoration silencieuse
de 10h30 à 11h30 : une animation est proposée par les adorateurs suivie de la bénédiction du Saint Sacrement.

En ton nom, Seigneur, nous sommes là,
Tous réunis devant toi.
(bis)
Honneur au Père,
Honneur au Fils,
Honneur à l’Esprit du Dieu Tout-Puissant

Lundi prochain, 15 août, l’Église célèbre l’Assomption,
fête d’espérance manifestant que la Bienheureuse Vierge Marie,
au terme de sa vie terrestre, a été élevée à la gloire du ciel.
Marie nous ouvre ainsi le chemin de notre vocation éternelle auprès
du Seigneur Tout-Puissant. Confiants en sa bienveillance, nous pouvons
confier à Marie notre cœur d’enfant pour qu’elle le remplisse de cet Amour
qui vaincra toute mort le jour de notre assomption. 

 Chant à Marie

1 - Sous ton voile de tendresse, nous nous réfugions.
Prends-nous dans ton cœur de mère où nous revivrons.
Marie, mère du Sauveur, nous te bénissons.

Marie notre mère, garde-nous dans la paix.
Refuge des pécheurs, protège tes enfants.

2 - Quand nous sommes dans l’épreuve, viens nous visiter.
De tous les dangers du monde, viens nous délivrer.
Marie, mère du Sauveur, prends-nous en pitié.

3 - Marie, vierge immaculée, apprends-nous à prier.
Que demeurent dans nos cœurs, le silence et la paix.
Marie, mère du Sauveur, veille à nos côtés.

En cette fête de l’Assomption de Marie, que toutes les nations
se mettent sous son manteau et se consacrent à elle pour le bien
de l’humanité. Avec Marie, médiatrice de toutes les grâces, nous
demandons à Dieu de bénir notre pays dans les épreuves qu’il traverse.

Ensemble prions

Vierge Marie, Notre-Dame de France, accueillez nos cœurs d’enfants
confiants en votre bienveillance. Guidez-les vers Jésus notre Sauveur, pour recevoir de son Cœur les grâces de sa divine miséricorde.
Nous vous présentons notre pays, ses souffrances, ses troubles,
ses conflits, mais aussi ses ressources et ses aspirations.
Recevez-les, purifiez-les, présentez-les à votre Fils, afin qu’Il intercède
en notre faveur, qu’Il oriente nos actions vers le Bien et nous guide dans
la Vérité. Nous vous consacrons la France dans la fidélité à l’Espérance
et la force de l’Esprit Saint reçues à notre baptême. Amen.

Dis-Lui notre désir, d’être toujours plus près de Lui,
Présente Lui nos cœurs, nos croix, nos cris, Marie !
Toi si proche de nous et si proche de Lui,
Tu sauras Lui parler de notre vie.

1.- Parle-Lui de nos routes sans issue et sans abris,
De ce brouillard soudain qui s’épaissit.
De nos sources taries, de nos fleurs sans le fruit
Peut-être saura-t-il comprendre aussi !

2.- Parle-Lui de ce feu qui s’éteint petit à petit,
Quand il n’y a plus d’espoir, quand c’est fini.
Des nuits sans éclaircie et du temps qui s’enfuit,
Il comprendra, puisqu’ Il est notre ami.

3.- Parle-Lui de nos choix, de nos “tant mieux”, de nos “ tant pis”,
De ce regard, soudain, qui nous trahit.
De ces moments d’ennui, et de tous nos soucis,
Peut-être entendra-t-Il ainsi nos cris.

Oui Marie, tu sauras lui parler de notre vie…

-silence-

1- Je m’abandonne de toute mon âme
Toi qui connais si bien mon cœur
Ce qui me trouble et me fait peur
Je Te le donne, Te l’abandonne
Je remets tout entre Tes mains
Que s’éclaire enfin mon chemin

Pour que Tout en moi puisse Te glorifier
Qu’aucune faiblesse ne vienne T’attrister
Je remets tout entre Tes mains mon Divin Potier

2- Je m’abandonne de toute mon âme
Que tout désir devienne Tien
Que de moi il ne reste rien
Rien que Te plaire, Te satisfaire
Que tout mon cœur Te soit contrit
Que je sois intègre dans ma vie

3- Je m’abandonne de toute mon âme
Que tout mon être soit désormais
De Ta gloire le seul reflet
Voici mon cœur, voici mon âme
Que je sente Ta main sur moi
Me façonner comme autrefois

-silence-

Nous nous mettons debout pour écouter la Parole

Alléluia, Alléluia, Alléluia, Alléluuia,
Alléluia, Alléluia, Alléluia, Alléluuia

Nous te louons, nous t’acclamons
Jésus vivant, Toi le Ressuscité
Nous te louons, nous t’acclamons
Verbe de vie, la Parole incarnée

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc (12, 49‑53)
« Je ne suis pas venu mettre la paix sur terre, mais bien plutôt la division »
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Je suis venu apporter un feu sur la terre, et comme je voudrais qu’il soit déjà allumé ! Je dois recevoir un baptême, et quelle angoisse est la mienne jusqu’à ce qu’il soit accompli ! Pensez-vous que je sois venu mettre la paix sur la terre ? Non, je vous le dis, mais bien plutôt la division. Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées : trois contre deux et deux contre trois ; ils se diviseront : le père contre le fils et le fils contre le père, la mère contre la fille et la fille contre la mère, la belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille contre la belle-mère. »
Acclamons la Parole de Dieu !

Alléluia, Alléluia, Alléluia, Alléluuia,
Alléluia, Alléluia, Alléluia, Alléluuia

Gloire à Toi, Seigneur, Ton Évangile est vérité.
Gloire à Toi, Seigneur, Ton Évangile est liberté.

-Méditation-

Nous lisons aujourd’hui 3 paroles de Jésus sur le feu qu’il apporte, le baptême qu’il doit recevoir, la division qu’il suscite.
- Quel est ce feu que le Christ est venu allumer sur la terre ?
Dans la Bible, le feu est une image de l’amour qui grandit dans le cœur, une image de Dieu. (Moïse rencontre Yahveh dans un buisson ardent – Le peuple d’Israël reçoit la loi de Dieu dans le feu de l’orage au Sinaï).
Pour Saint Luc, le feu est le symbole de l’Esprit-Saint venu brûler le cœur des apôtres à la Pentecôte. Ce sont les langues de feu qui se sont posées sur chacun des apôtres. Ces langues sont les organes de la Parole qui poussent les apôtres à annoncer les merveilles de Dieu.
Le feu, c’est aussi le baptême annoncé par Jean Baptiste : Moi, je baptise dans l’eau, Jésus baptisera dans l’Esprit-Saint et le feu.
Le feu de l’Esprit est un feu exigeant qui aide à discerner, à poser des choix. C’est un feu qui invite à la vérité.
Le feu de l’Esprit habite et anime celui, celle, qui s’ouvre à lui, et ce feu dote le croyant de dons tels que le service, l’engagement, la générosité, l’action, le témoignage, le don de soi.
La réponse de chacun au feu de l’Esprit est une expérience de conversion, car le feu de l’Esprit-Saint éclaire et purifie.
Pensons particulièrement aux premiers disciples qui ont tout quitté pour suivre Jésus, parce qu’ils étaient habités par l’Esprit-Saint. Pensons à St François d’Assise, Charles de Foucault, Mère Térésa, Sœur Emmanuelle et bien d’autres encore.
Pensons aussi à chacun d’entre nous qui est habité par l’Esprit-Saint depuis notre baptême, qui est le Temple de l’Esprit-Saint et qui est capable d’emprunter les chemins de sainteté.
Jésus, le passionné, désire ardemment donner l’Esprit au monde. Il projette de renouveler la terre entière grâce à l’Esprit-Saint et il dit que c’est sa seule tâche « je suis venu pour cela », vous donner l’Esprit-Saint.
- « Je dois recevoir un baptême et quelle angoisse est la mienne jusqu’à ce qu’il soit accompli » dit Jésus.
Le mot baptême signifie « plongeon », « bain ». Je dois recevoir un baptême, je dois être plongé dans un bain. Ce langage est symbolique. Jésus pense à sa Passion, aux grandes eaux de la souffrance et de la mort qui vont l’ensevelir. Jésus est angoissé à cette pensée. Mais loin de renoncer à son action, loin d’avoir peur, il se dirige vers sa mort avec un courage admirable.
En rapprochant le don du Feu de l’Esprit et de la plongée dans la mort de Jésus, Luc souligne combien le salut du monde (c’est bien sauver l’humanité du péché, de la mort) a coûté cher à Jésus.
En pensant à la Passion de Jésus, référons-nous à saint Jean Paul II qui nous interroge : « Chrétien, qu’as-tu fait de ton baptême ? Chrétien, où en es-tu dans ta vie de foi ? Chrétien, que fais-tu de l’amour que Dieu te donne ? »
- Enfin, Jésus prononce un discours qui peut nous déranger encore aujourd’hui.
Jésus dit : « Pensez-vous que je vous que je sois venu mettre la paix sur la terre. Non, je vous le dis, mais bien plutôt la division. Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées ».
Paroles déconcertantes. Jésus n’est-il pas le Prince de la Paix ? Ne proclame-t-il pas un royaume de paix ?
Jésus lui-même n’a-t-il pas dit : « Je vous donne la paix, je vous laisse ma paix ».
La paix est bel et bien le don de Jésus ressuscité. Or la prédication et l’action de Jésus provoquent des réactions violentes d’opposition, de division au sein des groupes religieux comme au sein des familles.
Au moment où Jésus prononce ces paroles, il met ses disciples devant une option décisive : prendre position pour ou contre Jésus et la Foi au maître devait passer avant même les liens familiaux les plus sacrés, d’où la division prônée par Jésus.
C’est bien la paix que Jésus apporte mais pas une paix facile, pas une paix à la manière du monde.
Aujourd’hui, ces paroles de Jésus sont toujours d’actualité. N’entendons-nous pas autour de nous « Mes enfants ont rejeté toute pratique religieuse, ne prient pas, ne viennent pas-plus-, à la messe … ? Mes enfants ne veulent pas se marier, sont divorcés. Mes enfants refusent le baptême de leurs enfants… ».
- Quelle est la famille chrétienne à l’abri de ces conflits, de ces divisions annoncées par Jésus ?
Nous sommes alors tentés de nous culpabiliser ou d’accuser l’Eglise, les catéchistes, les prêtres, les autres. Si j’avais fait ceci, si, si…
Il est malsain de penser que ce problème est nouveau. Déjà le prophète Michée, 800 ans avant Jésus avait décrit « l’insoumission l’insurrection des enfants contre les parents comme une plaie de son temps.
Nous te prions Seigneur pour les familles divisées, notre propre famille humaine, chrétienne, désunie. Allume le feu de ton Esprit au cœur de ce monde, au cœur de chaque membre de notre famille, au cœur de chaque enfant, de chaque jeune. Viens Seigneur Jésus, ne tarde plus. Etablis ton règne de paix, de justice, de charité.

Génération l’an 2000, l’horlog’la pas loin sonné
Le temps lé court’ y défil’, Jésus Christ pas loin artourné
Apocalypse 11 15, 7ème trompette va sonné
Son l’église s’ra enlevé, Sak Jésus po dit li po fé
Lett’ thessalonicien 4 16 18, li s’ra dessus in nié
Pou gain’ la vie éternelle y faut nou na, leçon bon Dieu

Na in nation va élève contr’ in nation
Na in royaume va élève contr’ in royaume
N’aura grand bataille, Parent va liv’ zot marmail’
Oui n’aura la trahison, la guerre, la famine ek le sang
S’ra plein faits divers, d’ailleurs l’a fin’ commencé
Ti conné l’ignorance Y défen’ pas les choses arrivé

Lé plein y di’ la Bible c’est l’homme la écrit
Zot’ y crois saint Thomas mais zot y crois pas Jésus Christ
La science y cause fort, mais na toujours in problème
Kossa na après la mort ek çà lé plein y blasfème
Jésus christ va cause ek’ ou si ou veut écoute à li
Li dit aou sort’ dans la boue, oublie ton philosophie

Donn’ mon l’ami, donn’donn’ ton cœur à Jésus
Poukoué toué la peur, na poin personne lé plus grand qu’li
Dan’ liv’ la vie, li va écrit ton nom,
Dan’ liv’ souv’nir mes amis li efface tout sak la pas bon
Nous va chant’ Alléluia, pou nout’ papa l’éternel
Comm’ p’tit baba nouveau né, nous va boire de lait semb’ de miel

Ensemble prions
Seigneur Jésus, tu es notre paix, et tu veux la paix.
Nous te le demandons : mets la paix dans nos cœurs.
Nous te supplions pour ceux qui sont tentés par la violence ;
convertis leur cœur. Fais de nous tous des artisans de paix,
partout où nous vivons. Avec Marie, ta Mère et notre Mère,
nous te prions de nous faire le don si précieux de la paix.
Merci d’écouter notre prière qui monte vers toi avec espérance.
Nous avons confiance en toi.

O Jésus miséricordieux, je t’adore, j’ai confiance en toi.

1. Des torrents d’eaux vives jaillissent de ton cœur,
Des sources vives et pures de ta miséricorde,
Désaltère mon âme et renouvelle ma vie.
Sans fin Seigneur, je veux vivre pour toi.

2. Ta miséricorde dans le Saint Sacrement,
C’est ce que ton amour a daigné m’accorder,
Mon âme espère en toi et elle s’abandonne à toi.
Tu es fidèle et tu ne déçois pas.

3. Feu brûlant au cœur de ton amour divin,
Tu consumes mon cœur et tu le purifies,
Embrase-moi d’amour, conduis-moi par ton Esprit,
Consacre-moi à ta miséricorde.

4. Je te livre ma vie, accepte-la.
Comme une hostie vivante, daigne la transformer,
Pour la gloire de ton nom, je veux faire ta volonté.
O mon Jésus, ma confiance est en toi.

Que l’amour règne par-dessus tout dans les familles.

Que l’amour et l’unité règnent dans nos familles, dans nos cœurs.
Que chacun encourage les autres membres de sa famille,
lui dise des paroles qui fortifient, qui lui donnent confiance,
qui le font grandir. Que chacun soit bienveillant à l’égard des autres.
Que les époux soient unis dans l’amour.
Que notre Seigneur fasse grandir cet amour venu de lui.
Que les époux soient inspirés dans leurs pensées et leurs actions
pour le bien de leur famille et de toutes les familles du monde.
Que leur travail soit béni, sans que les soucis les accablent,
ni que le bonheur les égare loin de Dieu. 
Que les parents soient disponibles et prennent du temps avec leurs enfants.
Que les jeunes trouvent dans leur famille une aide et une écoute.
Que leurs parents les entourent et les épaulent, leur fassent découvrir la grandeur de la vérité et de l’amour. Que les enfants soient la bénédiction des foyers. 
Que le bonheur règne dans les familles et dans tous les cœurs.
Que la Paix habite dans nos maisons et qu’elle règne dans les cœurs. Que l’amour soit plus fort que toute faiblesse et toute crise qui marquent parfois nos familles. 
Que toutes les familles découvrent l’amour et la présence de Dieu en eux.
Que l’amour des familles soient contagieux pour toutes les familles de la Terre.

Pour que l’Amour règne sur la terre,
Il faut d’abord qu’il règne en nos cœurs !
Ô Dieu d’amour, donne la lumière
A ceux qui cherchent à créer le bonheur !

-Quand Jésus passe-

Voir mon Sauveur face à face,
Voir Jésus dans sa beauté,
Ô joie ! ô suprême grâce !
Ô bonheur ! Félicité !

Oui, dans ta magnificence
Je te verrai, divin Roi !
Pour toujours en ta présence
Je serai semblable à toi !

Oh ! quels transports d’allégresse,
Quand tes yeux baissés sur moi,
Me diront avec tendresse :
« Je mourus aussi pour toi ! »

ou bien

Je te donne mon cœur,
il ne m’appartient plus.
Ce que j’ai de meilleur,
tout est pour toi Jésus.
Un parfum de valeur sur toi est répandu,
c’est l’offrande de mon cœur,
je suis à toi Jésus.

Prends mon âme, prends mon cœur,
je te donne tout.
Prends ma vie, me voici, je te donne tout.
Mon cœur est à toi, tout à toi.

ou bien

Quel ami fidèle et tendre, nous avons en Jésus-Christ,
Toujours prêt à nous entendre, à répondre à notre cri !
Il connaît nos défaillances, nos chutes de chaque jour,
Sévère en ses exigences, Il est riche en son amour.

Quel ami fidèle et tendre, nous avons en Jésus-Christ,
Toujours prêt à nous comprendre, quand nous sommes en souci !
Disons-lui toutes nos craintes, ouvrons-lui tout notre cœur.
Bientôt ses paroles saintes nous rendront le vrai bonheur.

Quel ami fidèle et tendre, nous avons en Jésus-Christ,
Toujours prêt à nous apprendre, à vaincre en comptant sur lui !
S’il nous voit vrais et sincères à chercher la sainteté,
Il écoute nos prières et nous met en liberté.

-après la bénédiction-

Bénissez Dieu, vous serviteurs de Dieu,
Vous tous qui demeurez dans la maison de Dieu.
Levez les mains vers le Dieu trois fois saint,
Proclamez qu’il est grand que son nom est puissant.

1 - Oui, je le sais notre Seigneur est grand,
Tout ce qu’il veut, sa main peut l’accomplir,
Du fond des mers jusqu’au fond des abîmes,
depuis la terre jusqu’au plus haut du ciel !

2 - Reconnaissez que le Seigneur est bon !
Il est fidèle en tout ce qu’il a fait.
Je veux chanter la douceur de son nom,
Béni soit Dieu par toutes les nations !

-Chant final-

1- Nous voulons vivre l’unité,
Rester ensemble à chaque instant.
Surtout ne pas nous séparer,
Continuer d’aller de l’avant.

2- Nous voulons te rester fidèle
Et devenir un même corps ;
Travailler au lien de la paix,
Marcher toujours dans le même Esprit.

Tous ensemble,
nous partageons l’amour du Seigneur,
L’adoration du Sauveur.
Tous ensemble,
nous accueillons l’Esprit du Seigneur,
L’unité du Créateur.

3- Reconnaissons nos différences,
En Dieu elles seront notre force.
Nous allons partager ensemble,
Chercher encore le royaume de Dieu.